top of page
Daniel Marseille.jpg

À PROPOS DE L'AUTEUR

Né au Mans, entre la cathédrale Saint-Julien, sculpturale et spirituelle, et le circuit des 24 Heures, véloce et explosif. A cherché sa voie en zigzaguant entre divers établissements de la ville. S'est spécialisé en philosophie, puis en esthétique, puis en cinéma à une époque où le 7ème art n'était pas canoniquement intégré à la philosophie esthétique.Elevé dans un cinéma de quartier, sis entre deux usines. Face à ses fenêtres, le gazomètre montait et descendait au rythme des pics de consommation. Un très bonne leçon visuelle. Ainsi, rien n'est que le mouvement. Il faut sans cesse s'ajuster au mouvement du monde.L'arrivée de la télévision condamnait sa petite salle de quartier. Il a participé à sa transformation en salle art et essai, avant d'en devenir l'animateur et le programmateur. Nouvel apprentissage. Entre les grandes œuvres du cinéma et l'enchantement des spectateurs, la relation est le plus souvent tendu.Parallèlement, il a poursuivi sa carrière universitaire. Deux thèses, puis des articles et des ouvrages en considérant le cinéma comme un moyen parmi d'autres de comprendre le monde et les hommes. Afin de mieux appréhender les problèmes du cinéma, il a tourné quelques courts métrages. Afin de mieux saisir ceux de la fiction, il a écrit un roman.J'aime savoir, déclare Jean-Louis Barrault dans Le Testament du docteur Cordelier. Pas seulement un testament, mais une règle de vie. Aussi difficile que cela paraisse, l'homme n'a-t-il pas besoin de savoir pour être ? En tous les cas, une certaine façon de se conduire dans la vie.

«Faut-il donc refuser, à ceux qui viennent plus tard, le droit de faire revivre leur propre âme dans l’âme des œuvres anciennes ? Non, car ce n’est qu’en leur donnant notre propre âme que nous les rendons capables de vivre encore. »

Friedrich Nietzsche

Photo : Daniel et Michel Serceau (x) dans la cabine de projection, Le Mans, 1953.

Daniel Oasis (Royal) 001_ed.jpg
bottom of page